dimanche 4 septembre 2011

Back in business!

Trois mois plus tard... on blogue!! Pourquoi ce silence? Oufff…. Laissez-nous vous raconter.
Dans le dernier «post» on croyait se bâtir assurément à Lac-Beauport à l’automne… après hésitation, nous avions porté notre choix sur le terrain en pente sans ruisseau qu’on croyait bâtissable sans condition. On a donc fait une troisième offre d’achat (la première avait été fait en mars ne l’oublions pas…) et entamé les démarches pour l’achat. Le test de sol, étant aux frais du propriétaire, nous avons donc attendu, attendu et attendu… Il y avait aussi plusieurs problématiques sur le terrain. Les deux voisins empiétaient sur le terrain et ce dernier ne pouvait être borné sans leurs signatures. Un cap de roche nécessitait du dynamitage. Pour les tests de sol, la première compagnie a refusé le mandat sans trop nous expliquer pourquoi. Selon les tests préliminaires d’une autre compagnie, un système tertiaire (18 000$ plus taxes) serait nécessaire… Et tout étant entre les mains du proprio, et celui-ci étant ce qu’il est, nous avons attendu, attendu et attendu.
 C’est pendant cette attente que Geneviève, ne cessant jamais ses recherches, est retombée sur une annonce d’un développement situé juste derrière la rue de l’autre terrain. Nous étions déjà allés dans cette nouvelle rue à l’hiver, et à ce moment là, les terrains paraissaient très en pente, trop en pente, et le prix était au-delà de ce qu’on voulait payer… Mais considérant les dépenses qui s’annonçaient pour l’autre terrain (dynamitage, système de traitement tertiaire pour les eaux usées) les prix s’équivalaient quasiment, mais pour le double de la superficie! C’est pourquoi, Geneviève est retournée voir cette nouvelle rue… OUUUUUULAAAAALAAAAA!!! WOOOOOWWWWWW!!!! Quels beaux terrains! Ce qui à l’hiver paraissait très en pente, c’était les bancs de neige et l’entrée de cour qui descend vers les terrains. Alors c’était plus une impression qu’autre chose. Le reste du terrain est relativement plat, juste assez en pente pour un paysage dynamique mais sans qu’il soit difficile de l’aménager… Et un magnifique ruisseau de montagne le traverse! Bref, un coup de cœur!
L’offre d’achat pour l’autre terrain étant échue, nous décidons d’entamer des démarches pour celui-ci. Nous rencontrons l’agent immobilier, signons et attendons la signature des promoteurs dans les jours qui suivent… MAIS… en fin de discussion avec l’agent, nous survolons rapidement la servitude d’aspect, parce qu’il y en a une! Il s’agit de directives à respecter pour harmoniser le style architectural du développement. SURPRISE! Il y est mentionné que la maison Canadienne est interdite…  Selon l’agent, ça semblait être un détail, jusqu’à ce que notre offre d’achat soit refusée…. NNNOOOONNNN!! Ce qui semblait fait et réglé s’avérait encore une fois plus compliqué que prévu. On croyait que ça y était et on se voyait déjà vivre là avec la petite famille. Nous avons donc insisté et demandé s’il était possible de rencontrer les promoteurs. Lors de cette rencontre, nous avons expliqué que nous voulons construire notre maison à partir de la charpente d’une maison Canadienne et non restaurer une maison ancestrale de façon puriste. Nous avons donc proposé des modifications extérieures afin de se rapprocher du style «villégiature» qui est le style préconisé. Une semaine plus tard, après une attente interminable, nous avons eu une réponse favorable. Ils accepteront notre offre d’achat à condition de leur soumettre un plan 3D incluant les modifications qu’on leur avait proposées et quelques unes en plus. YAAAAHOOOUUUUUUUU!!!!!!  Et vous ne le croirez pas, la même journée que nous avons reçu la réponse favorable, nous avons aussi reçu les résultats de test de sol pour l’autre terrain : il n’est pas construisible!!!
Nous pourrons donc amorcer de nouveau les démarches pour l’achat probablement cette semaine : prêt hypothécaire, test de sol, relevé topographique, plan d’aménagement et d’implantation, relevé des arbres, et enfin demande de permis de construction!
Si tout se déroule bien, on aimerait déboiser cet automne et commencer la construction au printemps 2012. On se croise les doigts pour ne plus qu’il y ait d’embûche!